That's Big
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2002 That's Big Little Charlie & The Nightcats  
       
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Production :
Alligator
ALCD4883
 
 
Musiciens :

Titres :
1- 1 : Real Love 5:06
Joey Ventittelli
1- 2 : Weekend Off 4:09
Rick Estrin
1- 3 : Desperate Man 3:35
Rick Estrin
1- 4 : Livin' Good 4:09
Rick Estrin
1- 5 : That's Big 4:07
Rick Estrin
1- 6 : Bluto's Back 4:06
Charlie Baty
1- 7 : I'll Bet I Never Cross Your Mind 4:17
Rick Estrin
1- 8 : I Know She Used To Be Your Woman 2:47
Rick Estrin
1- 9 : Money Must Think I'm Dead (#2) 3:27
Rick Estrin
1- 10 : Coastin' Hank 6:23
Rick Estrin
1- 11 : It Better Get Better 3:55
Rick Estrin
1- 12 : Bayview Jump 4:27
Charlie Baty
1- 13 : Steady Rollin' Man 3:21

1- 14 : Go On If You're Goin' 5:58
Rick Estrin
Commentaires :
Pascal Lob (10-10-2002)
Une basse batterie, au-dessus de tous soupçons, qui nous pose les ambiances aussi bien Jump, West Coast ou Swing avec aisance et sans lourdeurs.


Comme toujours les guitares sont hallucinantes et les deux interventions de Rusty Zinn ne sont pas là pour me démentir.


Même si je n'en suis pas un grand fan de son style, Rick Estrin est irréprochable, tant au chant qu'a l'harmonica. L'ensemble présente une vraie cohérence et c'est un vrai plaisir de faire tourner cette galette.


A écouter.
 
Mad Man (10-03-2003)
Il est vraiment très difficile, avec cet album divinement jump, de pleurer bergère aux moutons pour s’endormir. Nos nobles connards d’ovidés laineux semblent avoir une sainte propension, appréciants les mélanges d’ambiances et les rythmes syncopés du petit Charlie, à vouloir nous empêcher de les compter en se trémoussants sans fin.


Ils n’ont de cesse de s’agiter, en bons fidèles du premier Panurge swing venu, de nous attirer vers le gouffre hébété de leur sottise grégaire. Pour des cons... C’est des cons les moutons.


Je voulais juste boire un coup, écouter du Blues puis dormir un peu... Pas de chance car ce That’s big est vraiment énorme et s’écoute jusqu’au bout de la nuit. Le très sauvage Bluto’s back est un hymne rivalisant les thèmes de "Batman", de "Fantomas" ou de "Buffy contre Martine qu’a ses règles en enfer" (le dernier exemple n’est que pure fiction, un ultime scénario de séries Z comme autant d’effluves opiacées, pour producteur novice d’"M6 Universal").


Heureusement I’ll bet I never cross your mind, joué par un Rusty Zinn décidément prolifique et inspiré, me fait rêver d’une soupe à l’oignon endiablée chez la susnommée Martine (l’héroïne de B.D. bien sûr !) avec sa jupe plissée et socquettes blanches.


Plus besoin de mouton pour vous dire que la nuit sera longue et que rien ne saurait m’empêcher de savourer un repos post-coïtal sur It better get better, une Marlboro dans le bec et un optimiste "alors heureuse?" lâché furtivement à Martine qui vous souhaite le bonjour, ainsi qu’Aglaë, Sidonie, Colargol, Candy, Madame est servie ainsi que les sœurs Ingalls... Allez, faites de beaux rêves!
 
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