Live On
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1999 Live On Kenny Wayne Shepherd  
       
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Production :
Giant Records
74321 67072 2
 
 
Musiciens :

Titres :
1- 1 : In 2 Deep 03:15

1- 2 : Was 04:00

1- 3 : Them Changes 03:19

1- 4 : Last Goodbye 04:34

1- 5 : Shotgun Blues 04:49

1- 6 : Never Mind 03:59

1- 7 : You Should Know Better 04:13

1- 8 : Every Time It Rains 03:46

1- 9 : Oh Well 03:37

1- 10 : Wild Love 03:42

1- 11 : Losing Kind 04:32

1- 12 : Live On 04:36

1- 13 : Where Was I? 03:30

1- 14 : Electric Lullaby 03:12

Commentaires :
Pascal Lob (10-03-2002)
Alors là il a du glisser sur un album de Metalica. J’ai failli ne pas dépasser le troisième titre, trop Rock, trop dur, trop lourd. Après, c’est un peu plus supportable mais il en met partout, il en met trop et ça gave. Cette galette tape dans tous les sens, c’est sûrement mieux pour vendre.


A oublier.
 
Marc Loison (10-08-2002)
Ce disque est une merde!
 
Mad Man (10-03-2003)
Battez tambours, sonnez vielles tourmentées. Les troubadours du 20ème siècle, à l’image de K.W. Shepperd, semblent avoir de la nitroglycérine ras les baskets. Ras le slip, au regard de l’omnipotente campagne américaine contre le terrorisme, parait une localisation moins hygiéniste que chrétienne mais néanmoins plus temporairement défendable. Entre l’enfer de Dante annoncé et le Groucho-Mac Carthisme ambiant notre futur me parait fort mal assuré, mais qu’importe...


Par Saint Georges, Saint Nectaire et tout le Saint frusquin, je vous fais chevalier de l’ordre des lecteurs avisés de la présente chronique. In 2 deep nous plonge, sans préavis, dans le fond baptismal d’un thème salement accrocheur. Them changes est un pur désir d’eucharistie pop, une véritable communion, avec un Christ Hendrixien porteur d’une foi électriquement transfigurée.


Shotgun Blues est un hymne prénuptial pour refoulés des noces de Cana, ça ne change pas l’eau en vin mais ça distribue des pains à qui veut. Pour le pêcheur moyen, toujours rapport aux pains, Never mind est une bonne raison d’aller faire pénitence chez les Nénichou. Losing kind nous distille un dernier uppercut pour la route, une douce praline avant de sortir du ring. Electric Lullaby est tel un ultime message prophétique avant le know out selon Saint Jean.
 
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