Démo
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2005 Démo Voodoo Wild  
       
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Production :
Autoproduction
 
 
Musiciens :

Titres :
1- 1 : Silence 0:07

1- 2 : Stone Free 3:55

1- 3 : Hey Baby 6:04

1- 4 : Hey Joe 5:23

1- 5 : Red House 5:24

1- 6 : Fire 4:45

1- 7 : Who Knows 5:55

1- 8 : Voodoo Child (slight Return) 6:41

Commentaires :
Mad Man (25-02-2006)
Chou, hibou, caillou, c’est connu, ça prend un X au pluriel… Patachou, Benyamin Netanyahou ou Scoubidou, ça n’en prend pas, allez savoir pourquoi, peut-être parce que se sont des noms propres (enfin pour certains ! ) ? Pour le cas d’Evelyne Bouix, je n’ai aucune réponse. Une chose est sure, c’est que Voodoo, ça prend deux O. C’est bien la preuve qu’en matière d’absolu orthographique, la règle ne vaut que pour ceux qui ne s’y tiennent pas.





En revanche, vaudou ne prend pas de X, sinon cela donnerait vaudoux et ferait aussitôt penser à Viandox (pour les vieux du zinc), à saindoux (pour les cinglés du gras), à Botox (pour les peaux d’harengs), à xylophène color (pour les déviants du bricolage) ou à durex (pour les pratiquants d’activités reproductrices fortuites).





Première plage, que d’chih ! wahlou ! macash ! Zoby la mouette ! Rien ! Que dalle … Non, ce n’est pas ma platine qui déconne, c’est juste Silence, un flash de sept secondes de recueillement spiritique que suggère cette ode au vide sidéral. Les choses s’accélèrent sans grand mal avec Stone Free, le second morceau. En presque quatre minutes, l’on rentre dans l’univers psychotrope de VOODOO WILD. L’orientation Hendrixienne du trio est totale et sans demi-mesure. Vive la fuzz grassouillette, la big muff qui se néglige, les chapeaux à jabots et les colifichets boches (je fais publiquement mon coming out, non pas de bricoleur déviant pervers, mais de faiseur de jeux de mots pourris à dix centimes d’euros).





Jimi et la Voodoo child’s music sont de retour avec ce tribute consacré à l’esprit des 60’s et 70’s. s’ensuivent Hey ! baby et Hey ! Joe, deux morceaux dont l’esprit musical contemplatif nous laissent espérer un prochain… Hey ! Bouddha, t’as pas une clope ? ou autre… Hey ! José Bové, la mousse tache, la pisse aussi ! Red house, en revanche, nous ramène avec brio dans le creuset blues du maître de la stratocaster flamboyante. Les trois nervis de la psyché-pop, dans une version électrique et échevelée, transcendent le célèbre Fire, avant de terminer sur une reprise bien speedée de Voodoo child qui fait bien plaisir, là où ça fait bien plaisir. Merci à Pierre, David et Olivier pour se revival réussi des années flower power et buvards à gogo. Long live à WOODO WILD !
 
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