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Commentaires : |
Pascal Lob (10-11-2001) | Une fine équipe pour une tartine de haute tenue. Des cuivres qui tuent et des guitares qui tranchent, j'adore ça.
A avoir. |
| | David B (10-08-2002) | Maudite cloppe qui emporta si tôt le glacial Collins, alors que d'autres deviennent centenaires sans avoir plus grand chose à dire... Glacial des cordes bien entendu... Encore une preuve par cet album, avec des rythmes limites funk, des choeurs bien placés... tout bon. |
| | Mad Man (10-11-2002) | Enfin d?la musique de pur, d?la vrai musique de nèg... Pardon de couleur! Quel groove, quelle candeur. Un vrai appel à l?esprit rédempteur d?un dieu propre, sans préjugés raciaux, une unité autour du seigneur de "Blues" vêtue. I?m beginning to wonder préfigure une sainte envie de "condom?s attitude", sensuelle et attirante comme un appel à un perpétuel printemps. Le jeu basse batterie est tel un fougueux élan entre deux amants éperdus (une super boom, entre chèvre et loup, pour ex légionnaires de sexes inconnus et vice versa).
La seule voix de Mister Albert Collins est un argument qui réfute une soit disant infériorité afro-américaine prônée par les crânes mous et pointus du Ku Klux Klan. Le jeu de guitare est sûrement un vrai casse tête pour les éditeurs de partitions et autres marchands de riffs qui n?ont pas encore réussis à simplement dire à leurs acheteurs, "écoutez et priez".
Le génie est là, le génie de la spontanéité. Adorez la sainte Télécaster et soyez illuminés par le divin capocastre, nouveaux instruments d?une passion bluesy. Amis de l?harmonie classique pleurez car dieu, s?il s?appelle Albert, a certainement loupé des cours de solfège mais... oups! |
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