Ce n'est effectivement pas le meilleur Bryan Lee, bien que plus on l'écoute, plus il fascine. Le défaut est peut être lié à Duke, qui fait de la zique brillante mais trop policée, trop orchestrée, pour du Blues.
Le best of Bryan Lee restera le couple d'albums enregistrés deux nuits de suite dans un club de Blues de Bourbon Street, N.O, hélas disparu, le "Old Absynth House".
Pour ma part, j'ai entendu Bryan au Vics Kangaroo Café, à New Orleans, il y a quelques années, ainsi que plusieurs fois au Jazzfest de la même marque. Epoustouflant !
Je découvre qu'il va venir dans la malle cabine de Duke Robillard pour le festival de Coutances cette année "Jazz sous les pommiers", le 3 mai 2005.
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