Cet album est excellent ! j'aurai aimé être là, parceque la dernière fois que je j'ai vu et entendu, ce fut à Courbevoie le 14 avril 2005, et la prestation du sieur Popa était bien décevante... En tout cas, Popa reste un grand guitariste et un producteur intéressant qui nous fait découvrir d'autres talents du blues'rock.
CC le : 18-05-2005
Popa vient de passer à Nimes à l'Hotel Imperator ( samedi 6 juillet ) concert dans un joli parc , spectateurs plutôt calmes , de mon âge ( 20 ans dans les années 70 ) mais néanmoins enthousiastes - il a fait un malheur -!!! en milieu de concert , il a juste suggéré "why don't you move your ass" et là , tout le monde a démarré ... c'était génial - il a ensuite vendu et dédicacé son nouvel album double CD "Ten Years with Popa Chubby" avec un CD studio et l'autre "live" il y a "A chaque jour suffit sa peine" que je ne connaissais pas , mais je déplore que le titre "I love your shoes" n'y soit pas - cordialement.
Michel le : 10-04-2004
Un album live qui le fait, une excellente prise de son et l'ambiance scène des grands jours .. Un album soigné et énergique. Du très bon Popa quoi ! Et pour répondre à Didier, moi qui ai pu le voir déjà 4 fois on stage, et la dernière étant la meilleure, jamais je n'ai eu de désagréable impression sur la qualité de ses prestations ! Je comprends cela dit qu'un tel musicien puisse avoir des passages à blanc (Excès de bourbon ?)
Didier de Grenoble le : 20-06-2003
Cet album est (je suppose) une façon de s'excuser de ses 2 dernières tournée MINABLES du point de vue scénique. Ils essaie peut-être de rembourser son public avec ce très bon double live. En effet, j'ai assisté à l'une de ses premières tournées en France en 2000 et là, je ne revenais pas de sa performance vocale, de son son jeux de scène et pour compléter le tout, un groupe "top". La tournée suivante : plein de longueurs des morceaux interminables à la limite du remplissage. La dernière fois, 2002, c'était n'importe quoi, improvisation à la batterie d'une demi heure, des morceaux massacrés, impression d'assister à une répète des mauvais jours. Je suis partis avant la fin ne voulant pas cautionner cette pathétique "débandade". Je considère ce live comme une excuse pour le mépris qu'il a eu à l'égard de son public.
le : 10-06-2003
Ah! Tiens un live de Popa Chubby chez France Inter, encore en plus, et avec deux dates. Une en juin 2001 et une en décembre 2002. Est-il subventionné par le ministère de la culture et obtiendra t-il un traitement équitable de ses points de retraite, ainsi que l?assurance chômage inhérent aux droits légitimes des intermittents du spectacle ? Passons!
Après son prénuptial Flash back et son revival de Black coffee, c?est sur un chemin décidément très pop que Popa nous promène entre deux campagnes promos de guitaristes de blues New-Yorkais.
On ne sait plus où donner de l?oreille mais la machine à sous est en marche, tout comme celle de notre François ?Boucher producteur? Lazzaro national. Soudain le blues m?apparaît verdâtre avec, en prime, l?effigie des Présidents Washington ou Johnson en filigrane.
Heureusement Popa n?est un artiste français sinon son cach?ton y pourrait se le mettre moitié sur son PEP, moitié dans son cul, pour l?occasion revêtu d?un Skaï noir façon simili latex.
L?album reste néanmoins terrible mais à l?usage interne, pour les fans de Popa dont je fais parti. Le gros bât..., il assure quand même!! Hey joe, Fire, Gloria pour les standards, Sweet goddess of love and beer, How?d a white boy get the blues ? pour les compos.
Pour les amateurs de vrai pop?ricainanglaise, deux références : Steve Earle, Transcendental blues, chez Artemist Records 2001 (498074-2) ; Honeydogs, Here?s luck, chez Palm Pictures LLC 2000 (PALMCDC205262), du bonheur en sus.